
Destin
« Quelques fois, sur la pente raide qui mène à l’ennui, on trouve pourtant, perdu dans la masse, un groupe prophétique dont les bras virevoltent avec l’énergie du désespoir dans le grand bassin vide, de l’écriture avec pleins et déliés qui réduit au néant tous les soupirs. Du superlatif, bien sûr, quoi d’autre, des tartes dans la gueule, un oratorio d’opérette pour émouvoir le chaland, quoi, un micro enfoncé dans ton rectum pour te remettre les idées en place ? Quoi d’autre, bordel, pour arriver à parvenir à (te) faire comprendre que Destin est le groupe que j’attendais depuis des lustres » (GONZAÏ)