P.r2b

P.r2b

Dans P.r2b, il y a d’abord l’apparition d’Océan Forever, sa première chanson, bidouillée à la maison, et à la classe du classique. Sentimentale, elle semble annoncer une nouvelle ère ( dit-on chez les colonisés), celle de la chanson de l’Après. Elle est ainsi chroniquée dans Libération : "Ça avance à toute berzingue dans l'underground chanson." 

Dernier monstre en date, P.r2b – à lire à voix haute « Pauline Rambo » – s'intronise à nous avec une balade visqueuse et bavarde, pleine de rimes improbables («comme un souvenir VHS / comme la beauté sans le reste») appuyée par des nappes rave party et des basses taquines comme dans un truc de rap rêveur d'aujourd'hui.

La déprime hipster, vous dites ? Plutôt un tube en puissance auquel on souhaite un beau destin dans vos cœurs, si possible dénué d'ironie et de ricanement."